Apple

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Logo d'Apple
Création 1976
Dates clés 1977 : introduction de l'Apple
1984 : lancement du Macintosh
1998 : lancement de l'iMac
2001 : sortie du premier iPod
2007 : sortie de l'iPhone
2010 : sortie de l'iPad
Fondateur(s) Steve Jobs
Steve Wozniak
Forme juridique Incorporation
Action NASDAQ : AAPL
Siège social États-Unis Cupertino, Californie (États-Unis)
Direction Steve Jobs
Activité(s) Matériel informatique, logiciels, baladeur numérique, téléphone mobile
Produit(s) Macintosh, iPod, iPhone, iPad, iLife, iWork
Filiale(s) FileMaker
P.A. Semi
Effectif 35 000 (2009)
Site Web www.apple.com
Capitalisation 213,9 milliards USD (2010)
Chiffre d’affaires Augmentation 42,05 milliards USD (2009)
Résultat net Augmentation 8,24 milliards USD (2009)

Apple, anciennement Apple Computer[1] (NASDAQ : AAPL) est une entreprise multinationale américaine d'informatique, dont le siège social est situé à Cupertino, dans la Silicon Valley.

La firme est devenue célèbre avec son ordinateur personnel Apple II (1977), puis la gamme Macintosh (depuis 1984)[2]. En 2001, Apple a diversifié ses activités en se lançant dans l'industrie musicale, avec l’iPod et l’iTunes Store (2003) deux produits conçus pour la musique numérique, puis vers la téléphonie mobile avec l’iPhone (2007).

La marque est connue pour ses interfaces utilisateur simples et le design épuré de ses produits, et également pour sa capacité à faire connaître au grand public des technologies existantes en les rendant faciles d'accès même pour un public non spécialisé. Ce fut le cas avec l'interface graphique avec fenêtres, la souris et plus récemment l’écran Multitouch.

Sommaire

[modifier] Les dirigeants d’Apple

Siège d’Apple dans Infinite Loop

De plus, Timothy D. Cook a remplacé Steve Jobs de janvier à juillet 2009 en raison de problèmes de santé de ce dernier.

[modifier] Histoire d'Apple

Article détaillé : Histoire d'Apple.

Apple est créée le 1er avril 1976 à Cupertino, puis constituée sous forme de société le 3 janvier 1977. Des années qui ont précédé sa création à l'entreprise telle qu'elle existe en 2010, Apple a connu diverses facettes en lien avec l'évolution du monde informatique, partant d'un monde sans ordinateur personnel à une société du XXIe siècle interconnectée par l'intermédiaire de terminaux fixes et mobiles. Son histoire est particulièrement liée à celle de l'un de ses co-fondateurs, Steve Jobs, forcé à quitter la firme en 1985, puis réembauché en décembre 1996, avant de devenir CEO de la société en 1997. Parmi les produits phares qu'a connu Apple depuis sa création, se trouvent l'Apple I et II, le Macintosh, l'iPod, l'iPhone et l'iPad.

[modifier] La « culture Apple »

[modifier] Les rencontres avec le public

Apple privilégie depuis toujours une technique commerciale de rapprochement avec ses consommateurs et potentiels consommateurs. Cela s'inscrit dans une technique marketing globale visant, entre autres choses, à donner le sentiment au consommateur de faire partie d'une communauté d'utilisateurs proche de la société informatique.

Il y a plusieurs grandes rencontres annuelles entre Apple, ses clients, les développeurs et surtout la presse. Chacune est ouverte par une vidéoprojection où Steve Jobs présente les résultats financiers de la société et généralement de nouveaux produits. L’importance de ces grandes rencontres est fluctuante ; en 2000, les trois plus importantes étaient les MacWorld Expos de New York (aujourd’hui disparue), San Francisco et Tokyo.

Ainsi, Apple a progressivement abandonné toutes ces conférences, au profit de moyens moins coûteux de rapprochement avec les utilisateurs, tels les Apple Store et leur site officiel. Cependant, l'arrêt de cette tradition suscita une certaine tristesse chez les inconditionnels de la marque, qui y voient l'évaporation de l'ambiance conviviale qu'entretenait autrefois Apple. Il n'en demeure pas moins qu'Apple continue de tenir régulièrement des keynotes pour présenter ses nouveaux produits majeurs.

[modifier] L’image de l’entreprise

[modifier] Évolution du logo d’Apple

La première version du logo représentait Isaac Newton sous un arbre duquel pendait une pomme.

Très rapidement, il est remplacé par une pomme aux couleurs de l’arc-en-ciel mordue sur le côté droit, imaginée par Rob Janoff. Les caractéristiques visuelles de ce logo apparaissent comme le résultat d’un contre-pied systématique fait à partir du logo d’IBM, principal concurrent d’Apple à l’époque. En effet, la silhouette de la pomme donne au logo Apple une configuration simple et comprise en un bloc général, alors que IBM se présente sous la forme d’un triptyque. Deuxièmement, les formes du fruit sont entièrement construites à partir de courbes, IBM à base de droites. Troisièmement, la séquence chromatique est de type ABBA chez Apple : couleurs chaudes au centre, insistant sur le croquage de la pomme, froides à l’extérieur. La séquence dans le cas d’IBM est répétitive (ABAB) et bichrome : les bandes disjointes sont des couleurs froides comme le bleu. La pomme serait croquée pour ne pas être confondue avec le logo d’Apple Corps maison de disques fondée par les Beatles mais l’anecdote dit que la pomme est croquée pour ne pas qu’on la confonde avec une tomate. Une autre légende fréquemment rapportée veut que ce logo soit une évocation d’Alan Turing. En effet, le mathématicien dont les travaux ont permis la naissance de l’informatique est mort en croquant une pomme imprégnée de cyanure, probablement volontairement à cause des persécutions dont il souffrait pour homosexualité[3],[4]. Que les couleurs originelles de la pomme soient un second message envers Turing est également proposé, mais plus douteux : le rainbow flag n’est arboré par la communauté homosexuelle qu’à partir de 1978, alors que l’Apple II portait cet emblème en 1977. En fait le choix de bandes de couleurs vives est typique des années 1970 ; c’est d’ailleurs la raison officielle pour laquelle l’emblème d’Apple est redevenu progressivement monochrome entre 1997 et 2001.

Dans son histoire de la société Apple intitulée La Troisième Pomme, Jean-Louis Gassée mentionne Alan Turing à plusieurs reprises mais ne fait pas état d’un hommage emblématique, pour lui il y a trois pommes : le fruit de l’arbre de la connaissance (mythe d’Adam et Ève), la pomme d'Isaac Newton (d’ailleurs l’organiseur électronique d’Apple s’appelait le Newton), et enfin la pomme d’Apple.

La fondation d’Apple se prêtant aux mythes, le journal SVM Mac rapporta aussi la légende suivant laquelle la pauvreté dans laquelle vivaient les deux Steve à leurs débuts les ont poussé à une forte consommation de pommes, Steve Jobs ayant un goût particulier pour la McIntosh, qui avait tendance à prendre des couleurs.

Une autre légende dit que Steve avait 2 mois de retard pour donner un nom à son entreprise, et a alors menacé d’appeler sa société « Apple Computer » si ses collègues ne lui faisaient pas une bonne suggestion de nom avant 17 h. Ne trouvant rien la société devint Apple. Un autre motif mentionné est la volonté d’apparaître avant ses concurrents dans l’ordre alphabétique, le premier à l’époque étant Atari.

Rob Janoff a rencontré Steve Jobs pour la première fois lorsqu’il travaillait à Palo Alto, dans l’agence de relations publiques Regis McKenna. Il a eu la charge de dessiner un logo pour un bon ami de son patron, Steve Jobs. « Pour l’inspiration, la première chose que j’ai faite a été d’aller au supermarché, d’acheter un sac de pommes et de les couper en tranches », se remémore Janoff. Le fruit de son travail : une pomme monochromatique en 2D, avec une petite morsure sur le côté droit. Jobs aimait le concept, même s’il suggéra qu’il aurait mieux été un poil plus coloré. Le patron de Janoff n’était pas d’accord, insistant sur le fait qu’un logo noir serait moins coûteux à imprimer. « Mais Jobs était déterminé, soutenant que la couleur était la clé pour humaniser la compagnie », continue Janoff.

De 1997 à 2001 le logo change à nouveau : la forme reste la même (même si elle se pare parfois d’un léger effet de relief) mais le motif arc-en-ciel est remplacé par un ton monochrome, variant selon le produit qui la porte. Le combat avec IBM était fini. Apple veut désormais un symbole facile à retenir, comme l’est Sony ou Nike. Ce changement est destiné à donner de l’entreprise une image plus en adéquation avec ses ambitions sur le marché professionnel. La pomme multicolore, évoquant pour beaucoup le mouvement hippie, les sons à l’ouverture de fenêtres ou le « Mac qui sourit » (autrefois affiché au démarrage du Macintosh), comme les autres icônes de Susan Kare, étaient passés de mode, alors que le logo en relief et brillant donne à la marque une image de luxe et de qualité. Sur les ordinateurs, l’iMac est le premier à remplacer la pomme colorée par une monochrome sur sa coque. Et c’est le système d’exploitation Mac OS X qui finit le travail en rendant monochrome la pomme située au coin de la barre des menus de l’ordinateur.

Certaines polices de caractère possèdent un caractère  représentant le logo d’Apple. En unicode, c’est le caractère U+F8FF. Le clavier Mac lui-même permet d'accéder facilement à ce caractère [Alt-&] et, dans d'autres cas, sur alt - shift - 5.

[modifier] Entre marketing, choix fermés et innovations

Apple a pour réputation de fournir des systèmes simples d’utilisation, intuitifs et stables s’intégrant parfaitement au système d’exploitation, qui à son tour s’intègre parfaitement à la machine[réf. nécessaire]. Ceci est dû à la politique fermée de Apple, qui choisit elle-même le matériel et les périphériques de ses produits. C’est sans doute le principal avantage de la stratégie produit verticale menée par la marque, malgré les inconvénients d’une telle stratégie pour le client et pour l’entreprise[Lesquels ?].

Apple a amélioré son réseau de distribution « maison », en ouvrant ses propres magasins, les Apple Store. Bien que cette initiative d’entrer dans le secteur de la vente au détail ait reçu un accueil mitigé de la part des revendeurs indépendants, cette stratégie s’est révélée un succès. En effet, lieux de promotion de la « marque à la pomme » chargés d’un concept design alliant accents technologiques et sobriété, les Apple Store contribuent à l’identité de la marque.

Naomi Klein l’identifie dans son livre No Logo comme l’une des plus sophistiquées de l’époque moderne, à égalité avec Nike. En 1984, Apple récupère George Orwell dans une publicité contre IBM. Plus tard, Gandhi vient témoigner Think different en faveur de la marque dans ses publicités[5].

[modifier] Critiques et faiblesses de la stratégie d’Apple

[modifier] Organisation

On reproche à Apple son modèle de développement vertical, qui va à l’encontre de la plupart des prescriptions des économistes, spécialement pour l’informatique. Malgré cela, la compagnie dégage des profits.

Apple est également critiquée parce qu’elle dépend beaucoup de la personnalité qui la dirige, spécialement lors des deux ères Jobs. Certains considèrent que Steve Jobs fait l’objet d’un culte de la personnalité, ou du moins qu’il entre certains éléments d’un tel culte dans la relation qu’il entretient avec ses clients, et qu’il entretient autour de lui un champ de distorsion de la réalité.[réf. nécessaire]

Apple est encore critiquée pour une architecture fermée, et pour son refus des standards : on emploie le terme de syndrome du pas-inventé-ici.[réf. nécessaire] Cette critique n’est toutefois plus de mise, la plupart des composants électroniques de ses ordinateurs étant communs à l’ensemble de l’industrie informatique. De plus, le système d’exploitation utilise nombre de technologies répandues (MPEG 1 à 4, OpenGL, programmes libres). Enfin, du temps où cette politique de choix des technologies existait, elle n’était pas critiquable en soi, car la recherche et l’innovation sont un moteur du développement, et chaque société cherche à amortir ses coûts de recherche et développement en mettant sur le marché ses inventions. De plus, plusieurs technologies Apple ou utilisées d’abord par Apple se sont ensuite généralisées dans l’informatique personnelle (FireWire, ZeroConf (Bonjour, ex-RendezVous chez Apple)). De la même façon, Apple a permis ou accéléré l’adoption d’innovations en les généralisant d’un coup sur sa gamme (disquettes 3,5 pouces, SCSI, USB, Wi-Fi (AirPort)).

Quelques analystes critiquent la concurrence au sein d’Apple même, entre les programmeurs des différents environnements de programmation, ceux de Cocoa, héritiers de NeXTSTEP, et ceux de Carbon, dérivant de Mac OS 9. Cette rivalité est vue comme contre-productive, tout comme l’était en son temps la rivalité entre les équipes Apple II et Macintosh.

Une critique moins couramment entendue[réf. nécessaire], car concernant plus les entreprises que les particuliers, concerne l’absence d’une « Roadmap » (planification annoncée) notable d’Apple concernant ses technologies logicielles. Les directions informatiques des grandes entreprises attendent d’un éditeur qu’il annonce clairement vers quoi vont tendre ses logiciels dans les cinq années à venir, afin de pouvoir faire des choix d’investissement à moyen terme. Or, le reproche fait à Apple est de ne pas annoncer réellement quelles seront les étapes de son évolution au-delà d’un an, contrairement à ses concurrents comme Microsoft. Un exemple, simple s’il en est, concerne l’annonce abrupte de l’abandon des processeurs PowerPC d’IBM/Motorola au profit de ceux d’Intel : les éditeurs devront mettre à jour leurs applications, tandis que les propriétaires de parc micro auront à payer ces mises à jour, et devront gérer deux gammes de machines. Une annonce plus précoce eut permis à ces derniers d’anticiper le phénomène, en planifiant les renouvellements de parc en fonction du couple matériel/logiciel, de manière à éviter les surcoûts de mise à jour.

L’annulation régulière du développement de technologies pourtant prometteuses (ex : OpenDoc) a aussi laissé sur le bord de la route nombre de développeurs, fatigués d’investir du temps et de l’argent dans des « voies sans issue ». Du coup, le nombre de développeurs indépendants et d’éditeurs a chuté pendant les années 1990. Cette critique n’est plus d’actualité depuis l’apparition de Mac OS X, qui a ramené dans le giron d’Apple un grand nombre de développeurs issus du monde Unix/Linux et du logiciel libre.

Par ailleurs, le système de gestion du service après-vente en Europe, confié à un prestataire unique pour les portables et les G5, s’est révélé être une des faiblesses du système commercial Apple. Après des retards importants au début des années 2000, le prestataire de service a fait faillite début 2005, obligeant Apple à recourir aux techniciens de ses détaillants, et occasionnant de nouveaux retards de réparations.

[modifier] Prix

Enfin, Apple est souvent taxée de mener une politique de prix trop élevé. Le prix d’un Macintosh pouvait souvent atteindre deux fois celui d’un PC/compatible IBM dans les années 1980, voire trois fois dans les années 1990 après l’apparition du Pentium. Cette politique de prix élevés a probablement freiné le développement du Macintosh au profit du PC et des ordinateurs multimédia grand public de l’époque, tels que l’Amiga ou l’Atari. Aujourd’hui encore, les prix affichés par Apple sont très souvent plus chers et représentent un obstacle pour beaucoup d’utilisateurs souhaitant faire le « switch », c’est-à-dire passer de Windows à Mac OS X, même si la sortie du Mac mini est une initiative qui encore une fois ouvre un champ dans le domaine.

Il est vrai que les marges pratiquées par Apple sont bien plus élevées que celles qui se pratiquent généralement dans ce domaine (entre 25 % et 30 % de marge brute au début des années 2000, alors que certains fabricants PC se contentent de 8 %, voire moins). Cependant une étude du Gartner Group, commandée par Apple Australie et diffusée par elle dans la presse en 2002, affirmait que le TCO (Total Cost of Ownership) ou Coût total de possession, c’est-à-dire le coût total de l’équipement informatique quand on ajoute les matériels optionnels, les logiciels (licences), le support (etc.) est moins élevé avec un Mac que sur un PC équipé de Windows. Étude nuancée plus tard par Gartner, qui a précisé que les informations contenues dans son rapport ne reflétaient pas sa position éditoriale et étaient destinées à un usage interne chez Apple, correspondant à un scénario précis.

[modifier] Environnement

Fin 2006 et début 2007, Apple est classé par deux fois par Greenpeace comme dernière sur un classement de quatorze entreprises fabriquant des produits électroniques, sur des critères environnementaux tel que la gestion des déchets, le recyclage des produits obsolètes, l'utilisation de composants polluants ou la communication auprès du grand public sur ces sujets[6],[7]. Apple conteste ce classement dans une lettre ouverte de Steve Jobs[8]. La société déclare effectuer depuis plusieurs années des actions dans le domaine environnemental[9]. Des sites consacrés au Macintosh ont à plusieurs reprise étudié l'aspect écologique d'Apple et l'utilisation de l'image d'Apple par Greenpeace[10],[11]. Greenpeace France s'est récemment illustrée (mai 2007) en organisant une manifestation devant un revendeur Apple alors même que la section internationale de l'association a remonté début mai le classement d'Apple à une moyenne de 5/10 suite à la lettre de Steve Jobs[12]. En mars 2008 Apple est situé en milieu de classement, avec une note de 7/10[13].

La firme de Cupertino a réagi assez rapidement mais pas pour l'iPhone. Lors de l'annonce de nouveaux iMacs le 7 août 2007, Steve Jobs commence son Apple Event en ces termes : « Mesdames et messieurs, voici le nouvel iMac, il est beaucoup plus écologique et recyclable… »[réf. nécessaire]. Le polycarbonate blanc est ainsi remplacé par des composants en aluminium anodisé et des façades de verre. L'iPhone, a aussi été critiqué par Greenpeace, qui dénonçait les matériaux extrêmement toxiques à l'intérieur de celui-ci. Apple n'a toujours pas répondu et ne semble pas pressé de rendre son iPhone plus écologique. En effet, Apple a remplacé la coque arrière en aluminium de l'iPhone par une coque en polycarbonate pour l'iPhone 3G[réf. nécessaire].

[modifier] Produits et parts de marché

[modifier] Produits commercialisés par Apple

[modifier] Liste des matériels Apple

[modifier] Liste des logiciels Apple

[modifier] Parts de marché

Ventes de micro-ordinateurs et parts de marché
Année Monde France États-Unis
unités vendues * PdM PdM PdM
2009 10 400 000
2008 9 720 000
2007 7 764 000 [15] 2,88 % 5,6 %
2006 5 645 000 2,5 % 2,9 %[16] 4,7 %
2005 4 742 000 2,3 % 2,4 % 4,0  %
2004 3 507 000 2,0 % 2,2 % 3,3 %
2003 3 098 000 2,0 % 3,2 %
2002 3 098 000 2,2 % 2,8 %
2001 3 215 000 2,4 % 3,2 %
2000 3 733 000 3,5 % 4,0 %
1999 3 448 000 3,4 %
1998 2 763 000 2,6 % 4,9 %
1997 2 874 000 3,2 % 5,5 %
1996 3 960 000 5,3 % 7,8 %
1995 4 500 000 7,9 % 14,1 %
1994 3 800 000 8,3 % 14,7 %
1993 3 300 000 9,4 %
1992 2 500 000
1991 2 100 000
1990 1 300 000
1989 1 100 000
1988 900 000
1987 550 000 15 %
1986 380 000
1985 200 000
1984 372 000

Rappelons que Apple est divisé en plusieurs filiales ce qui semble être un bon moyen d’augmenter ses parts de marchés. une estimation quantitative de son effectif a été faite, toutes filiales incluses, à savoir près de 14 800 employés.

La ligne d'ordinateurs a bénéficié en 2007 et 2008 des vives hésitations du marché autour de Windows Vista combinées au fait que, le cœur des machines étant Intel, un passage au Mac n'était plus nécessairement irréversible, ce qui rendait son expérimentation raisonnable pour les habitués du PC.

Après le 3e trimestre 2010, Apple devient le plus grand fabricant américain de mobiles en passant devant Motorola (respectivement 8,8 millions et 8,5 millions)[17].

[modifier] Notes et références

  1. apple signifie « pomme » en anglais
  2. Cette activité, longtemps majoritaire dans le chiffre d'affaires de la marque, est en recul depuis l’année 2001 par rapport aux activités annexes. Résultats financiers d’Apple, année 2006. Cuk.ch, consulté le 11 janvier 2007. Notamment ce graphique
  3. Libération, cahier été, p. V, 27 juillet 2007
  4. Sadie Plant, Zeroes and ones (essai sur la culture numérique)
  5. http://www.youtube.com/watch?v=WmWi3g4RWvI 33eme seconde
  6. Environnement - Apple, pomme toxique? - LCI.fr, Olivier LEVARD, 3 avril 2007
  7. Guide pour une high-tech responsable - Rapport Greenpeace, avril 2007 [pdf]
  8. (en) A Greener Apple - Lettre ouverte de Steve Jobs, Apple.com
  9. Apple environnement - Apple.com
  10. Apple et l'environnement - Macplus.net - 17 juillet 2006
  11. Apple au piège de la communication - Macplus.net - 11 mai 2007
  12. Greenpeace France : un coup d'avance - Macplus.net - 10 mai 2007
  13. Guide pour une high-tech responsable - Rapport Greenpeace, mars 2008 [pdf]
  14. Apple Magic Mouse : la première souris Multi-Touch !, blog Pixmania
  15. Apple annonce ses résultats du quatrième trimestre - Apple, 22 octobre 2007
  16. France : Apple dépasse les 3 % ! - Christophe Laporte, MacGeneration, 8 février 2007
  17. Apple est devenu le plus gros fabricant américain de téléphones mobiles sur Gizmodo, le 30 avril 2010

[modifier] Voir aussi

[modifier] Articles connexes

[modifier] Liens externes

[modifier] Bibliographie

[modifier] Filmographie

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